Celles-ci ont également obtenu la tenue d'un nouveau procès devant la cour d'appel de Rennes, rapporte le Parisien paru mercredi 31 janvier. Evelyne Pathouot et Claude Fouchier réclament moins de 7.500 euros, pour le paiement de deux mois de salaire pour les mois de juin et juillet 1997 et pour préjudice subi. La décision de la Cour de cassation intervient au terme de dix ans d'un parcours judiciaire durant lequel les deux femmes n'avaient pas obtenu gain de cause ni devant les prud'hommes, ni devant la cour d'appel de Poitiers.
Evelyne Pathouot explique au Parisien qu'elle a été embauchée par Ségolène Royal fin 1995. Pendant deux ans, elle a été payée par l'Assemblée nationale, sur le quota d'assistants parlementaires de la députée. En 1997, l'Assemblée est dissoute et tous les collaborateurs sont licenciés. Les deux femmes, qui travaillaient à la permanence de la socialiste à Melle (Deux-Sèvres), se retrouvent alors en préavis. "Ségolène Royal avait quand même besoin de nous pour sa réélection", explique Evelyne Pathouot au quotidien, "mais à cause des comptes de campagne elle a d'abord voulu nous payer différemment". Au noir ? On n'ose l'imaginer ! En avril 1997, les deux assistantes ne sont pas rémunérées pendant trois semaines, ce qui vaudra à Ségolène Royal une condamnation aux prud'hommes. Le litige s'est par la suite compliqué autour des mois de juin et juillet 1997. Les plaignantes soutiennent qu'elles ont continué à travailler localement pour la socialiste, nommée alors ministre déléguée à l'Education. Selon l'avocat de Ségolène Royal, "les assistantes étaient en préavis et ont travaillé pour le député suppléant de Mme Royal, devenu ensuite un adversaire politique".
Evelyne Pathouot explique au Parisien qu'elle a été embauchée par Ségolène Royal fin 1995. Pendant deux ans, elle a été payée par l'Assemblée nationale, sur le quota d'assistants parlementaires de la députée. En 1997, l'Assemblée est dissoute et tous les collaborateurs sont licenciés. Les deux femmes, qui travaillaient à la permanence de la socialiste à Melle (Deux-Sèvres), se retrouvent alors en préavis. "Ségolène Royal avait quand même besoin de nous pour sa réélection", explique Evelyne Pathouot au quotidien, "mais à cause des comptes de campagne elle a d'abord voulu nous payer différemment". Au noir ? On n'ose l'imaginer ! En avril 1997, les deux assistantes ne sont pas rémunérées pendant trois semaines, ce qui vaudra à Ségolène Royal une condamnation aux prud'hommes. Le litige s'est par la suite compliqué autour des mois de juin et juillet 1997. Les plaignantes soutiennent qu'elles ont continué à travailler localement pour la socialiste, nommée alors ministre déléguée à l'Education. Selon l'avocat de Ségolène Royal, "les assistantes étaient en préavis et ont travaillé pour le député suppléant de Mme Royal, devenu ensuite un adversaire politique".
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